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[JUSTICE DE MERDE]Le migrant Afghan menace le personnel du centre d’accueil de Saint-Beauzire (63) : «je suis Daesh, je suis Taliban» il a été condamné à cinq mois de prison ferme pour "apologie publique d'un acte de terrorisme".

Publié le par 2012nouvelmorguemondial

Après son passage par le centre d'accueil et d'orientation de Saint-Beauzire, en Haute-Loire, un réfugié Afghan a été condamné à cinq mois de prison ferme pour "apologie publique d'un acte de terrorisme". 
Où est le prévenu ? Absent. D’après les magistrats ponots, il serait en Suède. En France, le réfugié Afghan n’est plus le bienvenu. Le tribunal correctionnel du Puy en a décidé ainsi. Dans l’après-midi de mardi, il l’a condamné à une peine de cinq mois de prison ferme pour « apologie publique d’un acte de terrorisme ».

Les faits se sont déroulés le 14 juillet dernier. Le jeune homme de 25 ans était hébergé à l’époque au centre d’accueil et d’orientation de Saint-Beauzire, en Haute-Loire. Ce jour-là, un bus avait été affrété pour permettre aux réfugiés d’assister à un spectacle. Mais le nom du prévenu n’étant pas sur la liste des inscrits, l’animateur du centre lui a refusé l’accès au véhicule. Le jeune Afghan l’a très mal vécu. « Il s’est mis en colère, a pris l’animateur par le bras et l’a poussé en lançant : je suis Daesh, je suis un Taliban », relate le président du tribunal. La victime a été choquée plus qu’elle n’a été blessée.

Au centre de Saint-Beauzire, tout le monde le savait « agressif », « violent » et « renfermé », mais personne ne l’a jamais entendu tenir des propos de cette nature. Qu’importe. Pour le représentant du parquet, c’était la phrase de trop. « C’est une façon d’instiller la peur. Prononcer ces mots, c’est se ranger du côté des terroristes et reconnaître que l’on est capable de commettre les mêmes horreurs », analyse Marie Moschetti. Face à cette attitude « provocatrice », le tribunal du Puy-en-Velay s’est montré intraitable. Il est désormais interdit au prévenu de séjourner en France. La décision est définitive.

 

Ce billet n'affirme que des faits qui ont été notoirement diffusés sur des médias alternatif, et divers medias mainstream. Il cite les sources: articles de presse/vidéos.

    Conformément au sens de l'art du code pénal , il ne peut être considéré comme diffamatoire (art. 34 de la loi du 29 juillet 1881).

    En conséquence, sa censure serait assimilable à entrave à la liberté d'expression (L431-1 du code pénal)