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Affaire Maëlys: La colère de l'avocat du suspect, Nordhal Lelandais, sur BFM WC : "Ce montage photo fait par votre chaîne est une honte, je vous le dis les yeux dans les yeux !" et affirme aussi affirme que la silhouette de la photo n'est pas celle d'une fillette et que les choses énoncé par le sont le procureur de la République sont totalement contraires à la réalité du dossier (video media fr)

Publié le par 2012nouvelmorguemondial

Sinistre one-man-show. Découvrez en vidéo la virulente diatribe d'Alain Jakubowicz, avocat de Nordahl Lelandais auquel BFM TV a déroulé le tapis rouge.

De vives et insondables passions.
Après la troublante émotivité du procureur de la République de Grenoble lors de sa conférence de presse, c'est au tour de l'avocat du suspect -mis en examen pour "meurtre"– de laisser transparaître une intrigante fébrilité.


Dimanche 3 décembre, Panamza publiait une vidéo inédite de Nordahl Lelandais, seul accusé de la sombre affaire Maëlys.


Lundi 4 décembre, son avocat -qui se dit "hanté" par ce dossier- était l'invité de Ruth Elkrief, présentatrice pro-israélienne de BFM TV qui rêvait (jeune fille) de devenir agent secret.

Il faudra une demi-heure de quasi-monologue ininterrompu d'un Jakubowicz furibard contre le procureur de la République pour que la présentatrice ose esquisser un début de critique en reprochant à l'avocat et militant communautaire (ex-patron du CRIF lyonnais) son attaque… de BFM TV, la chaîne du milliardaire franco-israélien Patrick Drahi.


À vous d'apprécier "l'entretien" qui évite d'aborder les questions dérangeantes (telles, au hasard, celles-ci : "Comment avez-vous été désigné pour être son avocat? Qui vous rémunère? Pourquoi exactement avez-vous demandé la suppression des premiers procès-verbaux?").

Carte jeu illuminati 1995,plan nouvel ordre mondial

Ce billet n'affirme que des faits qui ont été notoirement diffusés sur des médias alternatif, et divers medias mainstream. Il cite les sources: articles de presse/vidéos.

    Conformément au sens de l'art du code pénal , il ne peut être considéré comme diffamatoire (art. 34 de la loi du 29 juillet 1881).

    En conséquence, sa censure serait assimilable à entrave à la liberté d'expression (L431-1 du code pénal)