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Cote-d'or: Un sanglier tué dans le sous-sol d’une maison.Selon le propriétaire des lieux, les chasseurs auraient tué l’animal sans avoir l’autorisation de pénétrer dans la maison 18/12/2017

Publié le par 2012nouvelmorguemondial

Un sanglier a semé la panique à Arcey, dans le Doubs, après s'être engouffré dans le sous-sol d'une maison. Les chasseurs, qui traquaient l'animal, ont pénétré dans l'habitation... sans l'autorisation du propriétaire.

Grosse frayeur à Arcey, dans le Doubs. Dimanche 17 décembre, vers 11 heures, un sanglier a pénétré dans le sous-sol d'une maison de cette petite commune du Doubs. L'animal était traqué par des chasseurs et leurs chiens qui ont pénétré dans la bâtisse... sans l'accord des propriétaires.

« Ils sont entrés dans mon sous-sol, sans prévenir, pour achever au couteau un sanglier », s’est insurgé Xavier, dont l'ex-compagne la maison familiale, auprès du quotidien Le Bien Public. Sa fille, qui était en compagnie de son ami, a été alertée par un « vacarme » inhabituel. « Elle a pris peur », a relaté son père. 

« Il y avait du sang partout »

« Quoi qu’on en dise, c’est encore chez moi et je ne vous raconte pas, a-t-il déclaré. Il y avait du sang partout. Non mais vraiment, c’était effroyable m’a dit ma fille. » Les chasseurs, qui ont achevé la bête à la dague, sont revenus par la suite afin de nettoyer les lieux. Le maire d'Arcey, François Manière, reconnaît qu'ils « auraient pu aller sonner ». « Mais ils se sont d’abord occupés du sanglier, par sûreté », a-t-il justifié.

https://www.ouest-france.fr/bourgogne-franche-comte/doubs-des-chasseurs-achevent-un-sanglier-dans-le-sous-sol-d-une-maison-5456548

Ce billet n'affirme que des faits qui ont été notoirement diffusés sur des médias alternatif, et divers medias mainstream.
 Il cite les sources: articles de presse/vidéos.

    Conformément au sens de l'art du code pénal , il ne peut être considéré comme 
diffamatoire (art. 34 de la loi du 29 juillet 1881).

    En conséquence, sa censure serait assimilable à entrave à la liberté
 d'expression (L431-1 du code pénal)