Qui a aidé Macron à prendre le pouvoir ? Soros, bien sûr, mais aussi pas mal de fondations, de gens en place, notamment de ceux qui sont régulièrement invités aux petites soirées de Bilderberg. Soros, donc. -Mais aussi la French-American Foundation et le German Marshall Fund of the United States. -Mais aussi Henry et Marie-Josée (Drouin) épouse Kravis (que Macron a rencontré la première fois en 2007) et leur société KKR (KKR Global Institute) agence de Renseignement à la tête de laquelle est nommé l’ancien directeur de la CIA, le général David Petraeus [ C‘est avec les fonds privés de Kravis que que Petraeus va poursuivre l’Opération « Timber Sycamore » initiée par Obama.
Timber Sycamore est un programme secret géré par la Central Intelligence Agency et soutenu par divers services de renseignement arabes, notamment celui de l’Arabie saoudite. Lancé en 2012 ou 2013, il fournit de l’argent, des armes et une formation aux forces rebelles qui combattent dans la guerre civile syrienne. Selon plusieurs responsables américains, le programme a servi à former des milliers de rebelles1,2. wikipedia https://fr.wikipedia.org/wiki/Timber_Sycamore
L’existence du programme a été révélée quand le site web du U.S. Federal Business Opportunities a sollicité publiquement des contrats pour expédier des tonnes d’armes en provenance d’Europe de l’Est à Aqaba, en Jordanie. Une conséquence involontaire du programme a été d’inonder le marché noir moyen-oriental en armes, dont des fusils d’assaut, des mortiers et des grenades propulsées par fusée.
KKR est avec Blackstone et le Carlyle Group, l’un des principaux fonds d’investissement dans le monde.
-BILDERBERG : créé par la CIA et le MI6, puis est devenu un organe d’influence de l’Otan qui en assure directement la sécurité. Le Club de Bilderberg, dont les principaux piliers sont les Kravis et Marie-Josée Drouin-Kravis est administratrice. Quand il se présente aux élections de 2017, initialement, le financement de son association qu’il crée pour l’occasion « En Marche ! » n’est pas contrôlée et elle peut rececoir des dons de l’étranger. L’archi-milliardaire Henry Kravis est de ses donateurs. Macron est donc un homme de l’OTAN. La France, nous, sommes les prisonniers et les esclaves de l’OTAN. Il faut donc sortir de l’UE et de l’OTAN et moi je verrais bien en plus de l’ONU. Dans sa sphère on retrouve DSK (adoubé en 2000 par le groupe Bilderberg) qui n’est plus alors le président du FMI mais qui lui apporte le soutien de la haute Fonction Publique et celui du Patronat français, -quand Macron fait allusion à des références pétainistes, on comprend mieux pourquoi -[Voir références en fin de commentaire : « Fondation Saint Simon« ]. Parmi les collabos on retrouve : – L’influent Jean-Pierre Jouyet, adoubé en 2009 au Bilderberg, ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique sous Hollande. – Jean-Michel Blanquer : juriste, spécialiste de droit constitutionnel, directeur de la prestigieuse École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) connaît depuis longtemps Castries qu’il fréquentait à l’Institut Montaigne, ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, invité sur proposition d’Henri de Castries à la réunion annuelle du Bilderberg qui se tient en Italie en juin 2018. – Edouard Philippe, on en parle moins, il se fait plutôt discret tout en tenant les rênes. Invité alors qu’il est député-maire du Havre, à la réunion annuelle du Bilderberg en juin 2015 en Autriche. Il sera à nouveau invité, en Allemagne cette fois, en mai 2016. (Double casquette ; soutien -apparent- de Fillon lors de la campagne présidentielle en France avec Henri de Castries lequel Castries avait fait croire à Fillon qu’il ne soutenait pas Macron et qu’il était prêt à devenir son prmier ministre. Ils laisseront tomber Fillion après que Jean-Pierre Jouyet aura fourniles documents financiers réunis par l’Inspection des finances sur les emplois douteux de Madame Fillon au Canard enchaîné. Ils se rallieront alors à Emmanuel Macron).
En conclusion : le problème profond lié à léconomie dans notre pays ne poura pas être résolu sans une remise en cause la globalisation financière, CE QUE LE PRÉSIDENT MACRON NE PEUT PAS FAIRE.
Très curieuse cette implication de tant d’États et TOUS les moyens, TOUTES LES FORCES mis en oeuvre pour protéger et défendre CE QUI EST PRÉSENTÉ comme une guerre civile et prétendre protéger la « Démocratie ».