Ce test a été réalisé sur une poutre de chêne de 300 ans:
D'autres expériences ont été menées avec des produits inflammables, la théorie du court-circuit et d'autres scénarios: sans succès. Rien n'a pu entamer sérieusement ne serait-ce qu'une seule poutre et cela même après 20 minutes d'incendie au contact direct du bois...
Puis vient l'ajout de produits chimiques: gel barbecue d'abord puis white spirit directement sur le bois. Et là, miracle, le feu prend enfin.
La surprise c'est que même avec ces accélérateurs, la poutre ne brûle finalement qu'en surface pendant 6 minutes et le feu s'éteindra de lui-même.
Et voilà l'état de cette poutre d'à peine 30 ans après plus d'une heure des pires châtiments:
Plusieurs questions s'imposent: y aura-il des prélèvements de faits sur le bois de l'incendie pour vérifier la présence de produits chimiques? Pourquoi la thèse de l'accident a-t-elle été privilégiée (et même fortement vendue au public) dès les premières heures?
La première expérience n'avait duré que 5 minutes et avait été fait avec un simple allume-gaz. Cette fois, les testeurs ont sorti les grands moyens et pendant bien plus longtemps. On constate qu'il est pratiquement impossible qu'un incendie ait ravagé l'ensemble de la flèche par des moyens naturels et en si peu de temps.
Si le gouvernement est impliqué, on peut légitimement douter de l'impartialité de l'enquête. Nous l'avons vu dans le passé avec l'enquête totalement bâclée du 11 septembre.