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Pyrénées-Atlantiques : une septuagénaire entre la vie et la mort, poignardée par un migrant afghan

Publié le par 2012nouvelmorguemondial

Une femme âgée de 78 ans a été grièvement blessée après avoir reçu plusieurs coups de couteau à son domicile.
Une septuagénaire se trouve dans un état jugé critique après avoir reçu plusieurs coups de couteau à son domicile dans les Pyrénées-Atlantiques, indique ce samedi le parquet de Pau. Un jeune réfugié été placé en garde à vue dans le cadre de cette affaire.
«Une dame, âgée de 78 ans, a reçu plusieurs coups de couteau à son domicile d'Oloron-Sainte-Marie vendredi soir. L'auteur pourrait être un jeune homme réfugié à qui elle avait ouvert sa porte», déclare la procureure de la République, Cécile Gensac. «Il a été interpellé dans la soirée par les gendarmes sur la voie publique, il était très agité et a été placé en garde-à-vue dans la soirée», poursuit-elle.
La piste terroriste écartée
Selon France Bleu Béarn, la dame âgée avait ouvert sa porte vers 18 h 30 à ce réfugié afghan de 19 ans qui habitait à côté de chez elle, dans un appartement prêté par l'Ogfa, l'organisme de gestion des foyers de l'amitié. La radio précise que la victime et le réfugié se voyaient régulièrement.
«Ce sont trois autres réfugiés présents au moment des faits qui ont alerté la gendarmerie explique La République des Pyrénées. La victime a été hospitalisée à Pau et elle est dans un état très critique», explique Mme Gensac, précisant que la piste terroriste était écartée. Selon les premiers éléments de l'enquête, la septuagénaire avait pour habitude d'accueillir des réfugiés. France Bleu Béarn indique que l'agresseur était apparemment suivi suite à des problèmes psychiatriques. Il doit être présenté dimanche à un juge d'instruction en vue de sa mise en examen.

Ce billet n'affirme que des faits qui ont été notoirement diffusés sur des médias alternatif, et divers medias mainstream. Il cite les sources: articles de presse/vidéos.

    Conformément au sens de l'art du code pénal , il ne peut être considéré comme diffamatoire (art. 34 de la loi du 29 juillet 1881).

    En conséquence, sa censure serait assimilable à entrave à la liberté d'expression (L431-1 du code pénal)