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[FRANC -MACONNERIE]Non ce n'est pas une blague!!! celle qui à profané une église ,La fondatrice des FEMEN reçoit le «Grand Prix International» du maçonnique Comité Laïcité République

Publié le par 2012nouvelmorguemondial

 

Anna Shevchenko, Ukrainienne de 27 ans et figure majeure du groupe Femen, a obtenu le «Grand Prix International» du maçonnique Comité Laïcité République, présidé par l’ancien Grand Maître du GODF Patrick Kessel. Le Grand Prix National du CLR a été attribué au très vallsiste Gilles Clavreul, 44, ancien Délégué Interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme de 2015 à 1017. Ces prix ont été remis le 14 novembre 2017 dans le Grand Salon de l’Hôtel de Ville de Paris en présence de la maire PS Anne Hidalgo et des deux anciens ministres de l’Intérieur socialistes Manuel Valls et Jean-Pierre Chevènement.

Cet hommage aux Femen a constitué le bouquet final féminin de cette cérémonie, alors qu’il n’y avait que des hommes à la tribune (voir photo ci-dessus). Anne Hidalgo, dans son discours d’accueil, n’a pu s’empêcher de saluer en Shevchenko «une belle personnalité laïque qui défend les droits et l’émancipation des femmes». Et, dans son allocution, la militante féministe de s’élever «contre les extrémismes religieux, la domination patriarcale et cléricale, l’autorité masculine liberticide… qui veulent les femmes discrètes». Sans doute conscient que son CLR a été audacieux en couronnant la sulfureuse et ardente Femen Shevchenko, le président du CLR Patrick Kessel a conclu la soirée avec cette précision tout à propos: «Nous somme anticlérical, mais pas antireligieux».

Précision bien utile, car la militante qui a trouvé asile en France depuis 2012 a poussé bien loin la provocation. En 2013, elle investit la Cathédrale de Paris, seins nus et couverte de slogans hostiles au Pape. Cela lui vaut les critiques de Manuel Valls et même de son amie Caroline Fourest. Il y a aussi eu un dérapage anti-musulman dans un tweet… qu’elle a retiré.

L’autre récompense, le Grand Prix National du CLR revient à Gilles Clavreul, préfet chargé d’une mission relative à la laïcité et au respect des règles de vie en société. Cet énarque de gauche a été chargé de mission au ministère de l’Intérieur pendant la présidence Sarkozy, puis nommé conseiller de François Hollande à l’Elysée, avant d’être désigné Délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme. Ce proche de Manuel Valls et de Caroline Fourest assume pleinement son militantisme laïc en raillant la pseudo obligation de neutralité de l’Etat. Comme le président du CLR, il souligne le danger que représente pour la laïcité le poids électoral de Marine Le Pen (lire son intervention). Clavreul est cofondateur du mouvement politique Printemps Républicain (défenseur de la laïcité et des valeurs républicaines)… qui organise une manifestation commune avec le CLR et la Licra, le 6 janvier 2018, en soutien à Charlie hebdo.

Le Jury 2017 du CLR, présidé par Alexis Lacroix, directeur de la rédaction délégué de L’Express, a aussi rendu hommage:

- à Smaïn Laacher, professeur de sociologie à l’Université de Strasbourg et membre du Conseil scientifique de la DILCRAH (Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT) (lire son intervention)

- au Service De La Protection (de la Police nationale), qui assure la protection du chef de l’Etat et des ministres, ainsi que des personnes menacées (comme les journalistes de Charlie Hebdo).

- Jorgé Clavéro, militant des droits de l’homme, de la liberté de conscience et de la laïcité, et ancien Grand Maître de la Grande Loge d’Argentine.

CLAVERO Jorge
Jorge Clavero, alors Grand Maître de la Grande Loge d’Argentine

Plus encore que d’habitude, la proximité entre le CLR et l’obédience de son président Patrick Kessel était palpable, ce  14 novembre 2017. Sans doute car le Grand Maître actuel du GODF, Philippe Foussier, est président délégué du CLR. Comme Foussier, l’ancien Grand Maître Daniel Keller était également présent lors de la remise des prix.

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Les Femen ont profané une église en 2013

Une Femen a mimé un avortement puis uriné devant l'autel de la Madeleine à Paris vendredi. Une plainte a été déposée par le curé.

Une enquête a été ouverte après qu'une militante se revendiquant du groupe féministe Femen a mimé un avortement avant d'uriner, vendredi 20 décembre, devant l'autel de l'église de la Madeleine à Paris. 

La militante, seins nus, s'est dirigée peu avant 10 heures vers l'autel face à une dizaine de personnes présentes alors qu'une chorale répétait dans l'édifice. Interrogé par l'AFP, le père Bruno Horaist, curé de la paroisse, a raconté que la jeune femme avait déposé devant l'autel un morceau de foie de veau censé représenter un foetus avant d'uriner sur les marches de l'autel. Elle a ensuite quitté l'église sans prononcer une seule parole. 

 


Une plainte déposé par le curé de la Madeleine


Selon un photographe de l'AFP, les mots "344 salopes" étaient inscrits sur son ventre, une référence au manifeste des 343 femmes qui avaient signé un appel à la dépénalisation de l'avortement et la légalisation de l'interruption volontaire de grossesse en avril 1971. Dans son dos était écrit "Christmas is aborted". Une enquête de police a été ouverte après le dépôt de plainte du curé de la Madeleine.  

Des militantes du groupe féministe avaient symboliquement uriné le 1er décembre sur une photo du président Viktor Ianoukovitch, devant l'ambassade d'Ukraine à Paris, pour dénoncer la répression de l'opposition à Kiev. 

L'action condamnée
Sur les réseaux sociaux les réactions politiques ne sont pas faites attendre.

A lire aussi sur le meme sujet article de BFM TV ICI

Maintenant on comprends mieux pourquoi la légèreté des sanctions , bon on sais très bien qui sont la plupart des juges etc ... (franc-maçons) et ces lois venant tout droit de la franc -maçonnerie (loi pour mariage pour tous,etc ...) 

 

L’ancienne militante Femen Éloïse Bouton a été, enfin, condamnée hier. Les sanctions pourront apparaître plutôt légères, vu la gravité de la profanation commises en l’église de la Madeleine le 20 décembre 2013, à quelques jours de Noël… Mais elles sont peut-être révélatrices d’une nouvelle attitude vis-à-vis de ce groupe soi disant “féministe” mais réellement christianophobe : le temps de la complicité et de l’impunité semble être passé…

Mercredi après-midi [17 décembre], le tribunal correctionnel de Paris a condamné l’ex Femen Éloïse Bouton à un mois de prison avec sursis pour « exhibition sexuelle » et à payer 2 000 euros de dommages et intérêts au curé de la Madeleine ainsi que 1 500 euros au titre des frais de justice. La jeune femme de 31 ans, retirée depuis du mouvement « sextrémiste » pour désaccords, avait fait irruption seins nus dans l’église de la Madeleine, le 20 décembre 2013. Elle avait simulé un avortement près de l’autel en brandissant des morceaux de foie de veau sanguinolents pour figurer « le fœtus avorté de Jésus », devant une chorale sans voix venue répéter les cantiques de Noël (…) À la sortie de l’audience mercredi, Éloïse Bouton a aussitôt annoncé qu’elle interjetterait appel. Elle s’est dite « hallucinée » d’avoir été ainsi condamnée alors qu’il s’agissait d’un « acte militant féministe ». « Femen n’a jamais été condamné dans aucun autre pays pour exhibition sexuelle, même en Tunisie, même en Turquie, même en Ukraine », a-t-elle ajouté, en estimant que « c’est très grave pour la liberté d’expression » (…) Du côté des plaignants, on se satisfaisait au contraire du jugement. « C’est un juste rappel que les lieux de culte doivent être respectés en toutes circonstances, que le principe même de la laïcité implique ce respect », a réagi Me Laurent Delvolvé, l’avocat du curé de la Madeleine. En condamnant l’ex Femen à payer des dommages et intérêts au prêtre, le tribunal a également reconnu la recevabilité de sa plainte, ce qui était vivement contesté par la défense pendant tout le procès. Propriété de la ville depuis la loi de séparation des Églises et de l’État de 1905, le monument est seulement « affecté » au curé de la paroisse pour le culte. À ce titre, Me Michaël Ghnassia, avocat d’Éloïse Bouton, remettait en cause sa responsabilité des lieux. Or le prêtre reçoit, en qualité d’affectataire, de par la loi de 1905, le « pouvoir de police sacerdotale » pour garantir dans « son » église le libre exercice du culte, en toutes circonstances. « La condamnation à payer ces 2 000 euros est donc très importante, car elle signifie que la justice reconnaît que le préjudice subi par l’église devait être réparé », se satisfait Me Delvolvé. De son côté, le diocèse de Paris « salue cette décision de justice en ce qu’elle constitue une juste reconnaissance de la liberté religieuse, qu’elle garantit l’affectation cultuelle et condamne toute atteinte portée aux lieux de culte », a-t-il fait savoir dans un communiqué.

Dégradation d'une cloche de Notre-Dame de Paris : les Femen relaxées


Le parquet avait requis une amende de 1 500 euros contre chacune des neuf jeunes femmes pour une action menée en février 2013 dans la cathédrale parisienne.

Poursuivies pour avoir dégradé une cloche de Notre-Dame de Paris, neuf membres du groupe féministe Femen ont été relaxées, mercredi 10 septembre, par le tribunal correctionnel de Paris, qui a estimé qu'il n'y avait pas suffisamment d'éléments pour leur imputer les dégradations. Le parquet a fait appel dans l'après-midi.

Le 12 février 2013, les Femen avaient fêté à leur manière le renoncement du pape Benoît XVI. Elles étaient entrées incognito dans l'édifice parmi le flot des touristes, puis avaient tombé le manteau et s'étaient juchées sur le socle de trois cloches exposées provisoirement dans la nef à l'occasion du jubilé des 850 ans de Notre-Dame de Paris.

Exhibant leurs seins, comme à chacune de leurs actions, les Femen avaient crié « Pope no more! » (« Plus de pape ! »), en faisant tinter les cloches avec des morceaux de bois. La police avait constaté sur procès-verbal des éclats de plus de un centimètre sur le dessus de la cloche Marcel, recouvert de feuilles d'or.
 

Lors du procès, les Femen ont contesté être à l'origine du dommage, arguant qu'elles avaient pris soin de recouvrir leurs bâtons de feutrine. Pas suffisamment, selon l'avocat du recteur de Notre-Dame, pour qui la protection était mal attachée, si bien que la cloche a été frappée à « bâton nu ». Le parquet avait requis une amende de 1 500 euros contre chacune des neuf jeunes femmes.


« NOUS TROUVERONS UN MOYEN DE NOUS REVOIR »


Sur Facebook, les Femen se sont réjouies, avant l'appel du parquet, de l'issue de cette « mascarade qui dure depuis plus d'un an déjà aux frais du contribuable ». Avant d'ajouter, provocatrices comme à leur habitude :


« Il ne nous reste qu'un seul regret, celui de voir se finir ici cette relation si chaleureuse que nous avions nouée avec Notre-Dame depuis lors, mais nous sommes certaines que nous trouverons un moyen de nous revoir… »


Trois surveillants de la cathédrale ont quant à eux été condamnés à des amendes de 300 euros, 500 euros et 1 000 euros avec sursis pour des violences commises sur trois militantes lors de leur expulsion de l'édifice.

voilà un autre exemple que ces franc-maçon veulent tuer la France comme on vous la temps annoncé sur les médias alternatif

Par Auteur valeursactuelles.com / Jeudi 19 octobre 2017 

Les militantes féministes avaient manifesté, seins nus, contre Marine Le Pen lors du premier tour de l'élection présidentielle.


Neuf militantes Femen qui avaient manifesté seins nus à Hénin-Beaumont, mairie FN du Pas-de-Calais, lors des deux tours de la présidentielle, ont été relaxées ce jeudi par le tribunal de Béthune, rapporte l’AFP. Le ministère public avait requis un mois de prison avec sursis à leur encontre.

Le tribunal a prononcé “la relaxe pour les troubles aux opérations du collège électoral et pour l'exhibition sexuelle. Mais une militante a été condamnée pour des faits de rébellion, au moment de son interpellation, à un mois d'emprisonnement avec sursis”, a expliqué Me Valentine Reberioux, l’avocate des activistes.

“C'est une satisfaction teintée de déception, car les faits de rébellion sont contestés et ne correspondent ni à la réalité de la scène ni aux valeurs de la militante et des Femen, qui est un mouvement pacifiste”, a ajouté l'avocate, qui va faire appel de cette condamnation.

Le 23 avril lors du premier tour de l'élection présidentielle, à proximité du bureau de vote où Marine Le Pen était attendue, six militantes Femen, affublées de masques de Donald Trump, Vladimir Poutine et de Marine Le Pen, avait manifesté contre la candidate FN.

Le 7 mai, lors du second tour de la présidentielle, cinq Femen, toujours seins nus, étaient aussi montées brièvement sur l'échafaudage d'une église de la ville avant d'être interpellées par la police.

“Il serait temps que les différents parquets comprennent que le mode d'action des Femen ne constitue pas des exhibitions sexuelles et qu'on cesse de poursuivre des militantes politiques féministes sur le fondement d'une infraction sexuelle”, a encore estimé Me Reberioux.

 source ici 

source ici 

source ici 

christianophobe en puissance

 

Ce billet n'affirme que des faits qui ont été notoirement diffusés sur des médias alternatif, et divers medias mainstream. Il cite les sources: articles de presse/vidéos.

    Conformément au sens de l'art du code pénal , il ne peut être considéré comme diffamatoire (art. 34 de la loi du 29 juillet 1881).

    En conséquence, sa censure serait assimilable à entrave à la liberté d'expression (L431-1 du code pénal)