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Un ex-Grand Maître franc-maçon entre à l’ONU

Publié le par 2012nouvelmorguemondial

Marcel Laurent, ancien Grand maître de la Grande Loge des Cultures et de la Spiritualité, devrait être officiellement confirmé dans quelques jours comme représentant au Conseil Economique et Social de l’ONU (ECOSOC). Le haut dignitaire y représente le Centre de Liaison et d’Information des Puissances maçonniques Signataires de l’Appel de Strasbourg (Clipsas) qui l’a choisi lors de sa réunion de Buenos Aires en juin 2017. Le président du Clipsas, François Padovani a transmis cette décision par écrit le 6 octobre 2017.

Dans le cadre de cette fonction bénévole, Marcel Laurent participera à 9 réunions onusiennes par an : 3 à Genève, 3 à Vienne et 3 à New-York. «C’est important pour la GLCS, me confie le haut dignitaire. J’ai décidé d’y parler de la faim et de la soif dans le monde. La spéculation affame les peuples… il y a un gâchis et une pollution de l’eau.» Dans le cadre de cette mission sur la faim et la soif, Marcel Laurent a déjà rencontré Brice Lalonde, auditeur permanent à ECOSOC et à l’ONU.

Le Grand Maître de la GLCS, Christine Sauvagnac, avait révélé dans son discours d’après-convent, le 7 octobre 2017, que le Clipsas avait confié à la GLCS le soin de le représenter à l’Ecosoc de l’ONU. Par discrétion, ou superstition, elle n’avait pas nommé l’heureux élu, Marcel Laurent, qui est aussi son compagnon, ancien Grand Maître à qui elle a succédé en 2016. La GLCS compte 1280 frères et sœurs (la proportion de femmes dépassant un peu les 40%).  Voir ici le discours du Grand Maître lors du Dîner du 7 octobre 2017

carte jeu illuminati 1995,plan nouvel ordre mondial

Le billet n'affirme que des faits qui ont été notoirement diffusés sur des médias alternatif, et divers medias mainstream. Il cite les sources: articles de presse/vidéos.

    Conformément au sens de l'art du code pénal , il ne peut être considéré comme diffamatoire (art. 34 de la loi du 29 juillet 1881).

    En conséquence, sa censure serait assimilable à entrave à la liberté d'expression (L431-1 du code pénal)