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[PERIODE DE CHASSE]Un piéton a été blessé par une femelle sanglier affolée en pleine rue de Marseille.Heureusement à cette heure-là les enfants de la maternelle toute proche était encore en classe. 5/01/2018

Publié le par 2012nouvelmorguemondial

Un piéton a été blessé par une femelle sanglier qui l'a chargé dans la rue vendredi matin vers 11h30, boulevard de Nice dans le 8e arrondissement de Marseille. Heureusement à cette heure-là les enfants de la maternelle toute proche était encore en classe.

Plus de peur que de mal pour ce Marseillais de 55 ans percuté par une femelle sanglier, en pleine rue vendredi vers 11h30 sur le boulevard de Nice, à proximité du Parc Pastré, dans le 8e arrondissement de Marseille. Blessé à la jambe, conduit aux urgences de l'hôpital Saint Joseph, il a cependant dû subir plusieurs points de suture sur la plaie d'une dizaine de centimètres. 

Elle était complètement affolée

Thierry Horlin raconte : " Je rentrais chez moi et j'ai subitement entendu une cavalcade derrière moi. C'était une laie, elle devait peser 100 kg. Elle était complètement affolée et cavalait dans tous les sens."

L'homme ne perd pas son sens froid, il tente d'éviter la bête lancée à pleine vitesse "comme un torreador" mais l'animal en panique revient sur lui.


Elle m'a chargé, heureusement que ce n'était pas un gros mâle... elle m'a renversé et je suis tombé. Ensuite elle a continué à dévaler la rue.
 
Un danger pour les écoliers

On imagine le drame si des petits élèves de la maternelle toute proche avaient été dans la rue. "Heureusement qu'à cette heure-là, les enfants n'étaient pas dehors", souligne Thierry Horlin qui depuis sa mésaventure, s'est documenté sur les sangliers. "Une laie a des portées de 4 à 5 marcassins et ça revient tous les sept mois, il faut vraiment que la maire fasse quelque chose pour réguler ça".

"J'ai été plus surpris qu'effrayé, dit-il, ça va tellement vite qu'on n'a pas le temps de réaliser". 
Désormais quand il traverse la rue, Thierry Horlin ne fait seulement attention aux voitures, même si reconnaît-il, c'est la première fois en 10 ans qu'il croise un spécimen dans son quartier. 

 

Ce billet n'affirme que des faits qui ont été notoirement diffusés sur des médias alternatif, et divers medias mainstream.
 Il cite les sources: articles de presse/vidéos.

    Conformément au sens de l'art du code pénal , il ne peut être considéré comme 
diffamatoire (art. 34 de la loi du 29 juillet 1881).

    En conséquence, sa censure serait assimilable à entrave à la liberté
 d'expression (L431-1 du code pénal)