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Deux nouvelles choses qui prouvent bien encore une fois que la religion catholique fait parti du plan du nouvel ordre mondial (video media fr)

Publié le par 2012

Paroisse Saint-Paul, jeudi 29 septembre 2016. De gauche a droite : Paul Tréhard, cofondateur de l’application La quête ; Pierre Vivarès, curé de Saint Paul ; Antoine, paroissien.

 

Huit paroisses parisiennes ont décidé de moderniser leur système de quête en développant une application pour smartphone, qui permettra aux fidèles dès ce dimanche, de faire un don directement en ligne.

 

En route vers une nouvelle ère. Huit églises* parisiennes lanceront dimanche un nouveau système de quête : le don en un clic depuis son smartphone. Conscient que les nouvelles générations ont peu de monnaie pendant la messe, le diocèse de Paris a donc trouvé le moyen de s’adapter en développant le "don numérique", rapporte France Bleu.

 

L’application La Quête (disponible sur iPhone et Androïd), imaginée par cinq jeunes catholiques, permettra désormais aux fidèles de verser de l’argent via une plateforme sécurisée en ligne. Pour ce faire, ils n’auront qu’à se créer un compte, renseigner leurs coordonnées bancaires, choisir le montant, la paroisse et valider en appuyant sur "Je donne". D’autres solutions pourraient être testées à terme, parmi lesquelles l’installation de bornes avec paiement sans contact dans les églises ou la commande de coupons à remettre dans la traditionnelle corbeille.

 

98 euros par an, peut mieux faire

 

Utilisés pour financer l’électricité, le chauffage ou autre besoin des églises, les dons des paroissiens pourraient augmenter de façon considérable selon le Parisien. Un fidèle donnerait en moyenne 98 euros par an, soit environ 2 euros par don. Avec la dématérialisation de la quête, il pourrait être amené à donner plus. "Le test de l’application mené depuis le printemps dernier dans cinq églises à Bordeaux (Gironde), Sophia Antipolis (Alpes-Maritimes), Rambouillet, Triel sur Seine et Verneuil-Vernouillet (Yvelines) montre que le don moyen de la centaine de donateurs réguliers, est plus élevé que d’habitude", remarque Paul Tréhard, cofondateur de l’application. Un fidèle, cité par le quotidien, confirme qu'il donnera entre trois et cinq euros, au lieu des deux euros traditionnellement remis dans la corbeille.

 

* Sont concernées les églises de Saint Germain des Prés (VIe), Saint Paul (IVe), La Trinité (IXe), Saint Jean Baptiste de la Salle (XVe), Saint Jean Baptiste de Grenelle (XVe), Notre Dame des Champs (VIe), Notre Dame d’Auteuil (XVIe) et Saint Ferdinand des Ternes (XVIIe).


Religion : des églises se lancent dans la quête par smartphone

Des pub géantes sur les églises de Paris : il faudra s'y faire

L’opération avait créé la polémique quand elle a été votée au conseil de Paris, les élus écologistes et du Parti de Gauche ont critiqué le fait de recouvrir le patrimoine de la ville par des affiches publicitaires.

L’église Saint-Augustin à Paris est à partir de ce vendredi 30 septembre, recouverte d’une immense bâche publicitaire pendant les travaux de restauration qui vont durer 14 mois.

Saint-Augustin, située dans le 8e arrondissement, est la première église parisienne à se couvrir de publicité durant ses travaux de rénovation, le code de l'urbanisme parisien interdit cette pratique sur les monuments historiques sauf en cas de dérogation. Le coût des travaux s’élève à 4,2 millions d’euros, la recette publicitaire permettra de payer 1,37 million d’euros de cette rénovation. L’affiche en question représente le dernier smartphone du géant sud-coréen Samsung.

D'autres églises vont suivre

En novembre, ce sont les églises de la Madeleine également dans le 8ème arrondissement puis Saint-Eustache dans le 1er arrondissement qui seront recouvertes d’affiches publicitaires pendant leur rénovation. Si la méthode divise chez les élus parisiens, certains habitants sont pragmatiques et approuvent l’idée de financement des travaux de rénovation par la publicité.

http://www.lci.fr/societe/une-premiere-affiche-publicitaire-sur-une-eglise-parisienne-2005526.html

La mairie de Paris envisage l’installation de bâches publicitaires pour participer au financement des travaux sur les édifices religieux les plus importants. Le projet sera débattu début juillet au Conseil de Paris et pourrait rapporter plus de trois millions d’euros pour chaque édifice.

L’église Saint-Germain de Charonne, dans le XXe arrondissement de Paris, où a été tournée la scène finale du film « Les Tontons flingueurs », a rouvert après six ans de travaux. / Corinne SIMON/CIRIC/

Après avoir été boudée par l’ancienne municipalité, l’idée d’utiliser des bâches publicitaires pour participer au financement de travaux des édifices religieux les plus importants est envisagée par la mairie de Paris. C’est ce qu’a déclaré, samedi 18 juin, au Parisien, Bruno Julliard, premier adjoint (PS) d’Anne Hidalgo, en charge du patrimoine.

Le projet, qui concernerait pour l’instant les églises de La Madeleine, Saint-Eustache et Saint-Augustin, sera débattu début juillet au Conseil de Paris. Et pourrait rapporter, pour chaque édifice, trois millions d’euros qui serviront uniquement pour la restauration de l’édifice concerné.

 

Ces éventuels revenus viendraient s’ajouter aux 80 millions d’euros promis par la Ville, en avril 2015, pour entretenir le patrimoine cultuel de 2014 à 2020 (avec une liste de vingt édifices prioritaires) et aux 11 millions d’euros promis, au même moment, par l’État, via la Direction régionale des affaires culturelles.

Ils viendraient gonfler la part des financements privés espérés en 2015 à 20 millions d’euros. « Ne pas rester assis, les bras croisés, avec des mouchoirs » L’économe du diocèse de Paris, Philippe de Cuverville, qui s’était déjà positionné en faveur de cette solution, s’est félicité d’une telle annonce. « Nous sommes face aujourd’hui à un grand manque d’argent pour restaurer les édifices religieux de Paris », reconnaît-il. « Et nous ne pouvons pas rester là, les bras croisés, à pleurer. Il faut se mobiliser, trouver des ressources, pour permettre aux générations suivantes, aux touristes d’avoir accès à ces monuments culturels ; aux chrétiens, de pouvoir continuer à se recueillir dans leurs lieux de culte. »

Selon lui, la Ville s’est engagée à ce que chaque publicité envisagée reçoive l’accord du curé de la paroisse, de l’évêque et du maire d’arrondissement de l’édifice concerné avant d’être accrochée.

Il a ajouté que le diocèse avait créé pour aider au financement de l’entretien des édifices religieux à Paris, en février 2014, la fondation Avenir du patrimoine à Paris, hébergée par la Fondation Notre-Dame et reconnue d’utilité publique. Celle-ci espère recueillir 7 millions d’euros d’ici à 2017, en dons, mécénat ou legs, pour contribuer à restaurer, entre autres, Saint-Merri, Saint-Augustin et la Madeleine.

 

L’église des « Tontons flingueurs » rouverte Par ailleurs, la petite église parisienne Saint-Germain de Charonne, connue pour avoir été le théâtre de la scène finale du film culte Les Tontons flingueurs, a fêté, dimanche 19 juin, sa réouverture, après avoir fermé ses portes, pour restauration, pendant près de sept ans.

Construite sur un sol instable et menaçant de s’effondrer, elle avait été frappée, en décembre 2009, d’un arrêt de péril. Et ses fidèles étaient contraints de se rendre à Saint-Cyrille et Méthode (autre lieu de culte de la paroisse de Charonne) située de l’autre côté de la rue de Bagnolet.

 

http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/France/Des-baches-publicitaires-bientot-sur-des-eglises-a-Paris-2016-06-20-1200770074

CARTES JEU ILLUMINATI Y2K 2002,PLAN NOUVEL ORDRE MONDIAL

CARTE JEU ILLUMINATI 1995,PLAN NOUVEL ORDRE MONDIAL