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Haute-savoie:Un sanglier blessé, venant des bois rentre dans la cour de l'école maternelle de Cruseilles ce Dimanche vers Midi : l'animal abattu

Publié le par 2012nouvelmorguemondial

Dimanche vers midi, un sanglier blessé, venant des bois qui se situent à proximité du lieu-dit “Troinex” sur la commune de Cruseilles, a pris la direction du quartier des Grands-Champs. Paniqué, il s’est introduit dans les propriétés avoisinantes. D’après un témoin, il a même essayé de rentrer dans la gendarmerie. Sans succès, puisque le portail fermé a résisté à ses assauts. Alertée, la gendarmerie a pris aussitôt les dispositions ad hoc pour sécuriser tout le quartier.

Le cochon a même essayé de rentrer dans la gendarmerie

N’ayant pas eu de succès avec le portail des militaires le sanglier a continué son périple avec plus de réussite puisqu’il est arrivé à défoncer la clôture de l’école maternelle, située une vingtaine de mètres plus loin. Un voisin, témoin de la scène, qui a suivi son parcours a eu la présence d’esprit de le refermer. L’animal, désormais prisonnier, a continué par tous les moyens à essayer de sortir, la force exercée sur le grillage témoigne de sa volonté de ne pas rester prisonnier comme les nombreuses marques qu’il a laissées sur l’établissement.

Entre-temps, le commandant de brigade de la gendarmerie de Cruseilles, l’adjudant-chef René Bongiovanni avait prévenu Jean-Marc Bouchet, lieutenant de louveterie qui officie sur le secteur. Rapidement sur les lieux et après analyse de la situation avec les chasseurs, il a décidé d’abattre l’animal non sans mal vu le danger qu’il représentait ( 1 ), son poids étant estimé entre 40 et 50 kg.

( 1 ) Un sanglier blessé est un animal dangereux qu’il ne faut surtout pas sous-estimer, les récentes attaques sont là pour le prouver.

Ce billet n'affirme que des faits qui ont été notoirement diffusés sur des médias alternatif, et divers medias mainstream. Il cite les sources: articles de presse/vidéos.

    Conformément au sens de l'art du code pénal , il ne peut être considéré comme diffamatoire (art. 34 de la loi du 29 juillet 1881).

    En conséquence, sa censure serait assimilable à entrave à la liberté d'expression (L431-1 du code pénal)