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[DICTATURE]Côte-d'Or : Les promeneurs et autres cyclistes ou joggeurs interdits de forêt à Is-sur-Tille tous les dimanches jusqu'à la fin de la saison de la chasse ! La municipalité a pris un arrêté interdisant l'accès de la forêt à toute personne en dehors de la société de chasse. Motif invoqué par le maire, la sécurité.Au total ce sont 22 dimanches qui sont concernés par cette interdiction.

Publié le par 2012nouvelmorguemondial

Les promeneurs et autres cyclistes ou joggeurs interdits de forêt à Is-sur-Tille tous les dimanches jusqu'à la fin de la saison de la chasse ! La municipalité a pris un arrêté interdisant l'accès de la forêt à toute personne en dehors de la société de chasse. Motif invoqué par le maire, la sécurité.

Depuis le 14 octobre, dernier, la forêt d'Is-sut-Tille est interdite d'accès aux promeneurs et autres sportifs du dimanche. Le maire a pris un arrêté qui interdit l'accès de la forêt à toute personne en dehors de la société de chasse de la commune. Un arrêté qui concerne tous les dimanches jusqu'à la fin de la saison de chase, le 28 février.

Un arrêté pour protéger la population

Et la raison invoquée par le maire Thierry Darphin, c'est la sécurité avant tout. C'est à la demande de la société de chasse d'Is-sur-Tille que la ville a pris cet arrêté. La société de chasse qui paie un droit pour l'utilisation de ces parcelles de forêt, estime qu'il est plus prudent que l'accès soit réservé les dimanches aux seuls chasseurs car certains promeneurs ne sont pas prudents et pas assez visibles. "On ne voudrait pas qu'il y ait un accident " explique Marc Leyoudec, le trésorier de la société de chasse d'Is-sur-Tille.

22 dimanches concernés

Au total ce sont 22 dimanches qui sont concernés par cette interdiction. Des panneaux d'affichage le rappellent aux promeneurs à l'entrée de la forêt, mais un partage des lieux que les habitants apprécient diversement.

L'arrêté est en vigueur jusqu'à fin février.

 

Ce billet n'affirme que des faits qui ont été notoirement diffusés sur des médias alternatif, et divers medias mainstream. Il cite les sources: articles de presse/vidéos.

    Conformément au sens de l'art du code pénal , il ne peut être considéré comme diffamatoire (art. 34 de la loi du 29 juillet 1881).

    En conséquence, sa censure serait assimilable à entrave à la liberté d'expression (L431-1 du code pénal)