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[PERIODE DE CHASSE]Ardèche : les sangliers pénètrent dans la ville préfecture de Privas

Publié le par 2012nouvelmorguemondial

A plusieurs reprises, des sangliers ont été vus dans la ville de Privas. La nuit, ils s'attaquent aux pelouses et aux potagers des habitants de la ville. 
 

Les pelouses du centre hospitalier de Privas ont été ravagées par les sangliers. Des hardes de ces mammifères sauvages franchissent les routes et les grillages pour venir au plus près des habitations. Dans le quartier Pradines, près de l'hôpital, des habitants ont vu ces sangliers remonter le ruisseau pour rafler les récoltes des potagers.

Une situation est alarmante, elle préoccupe la mairie pour des raisons de sécurité publique. Le maire Michel Valla vient de passer une convention avec les lieutenants de louveterie. Il leurs attribue une subvention pour que des battues administratives aient lieu prochainement et rapidement dans différents quartiers de la ville.

Plus loin, dans un autre quartier, au pied du massif du Coiron, une exploitation agricole est régulièrement visitée les nuits par les sangliers. Ils défoncent les clôtures, mangent les marrons et remuent la terre vouée au pâturage des moutons. Une situation qui devient intenable pour l'éleveuse. La Fédération Départementale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FDSEA) tire une nouvelle fois la sonnette d'alarme. Elle demande que des mesures de piégeages massifs soient organisés dans le département.

Le 1er décembre, la Fédération de chasse convoque une réunion extraordinaire avec les représentants des associations locales de chasse pour évoquer l'épineux dossier du sanglier. Cette année, le montant des dégâts liés aux sangliers a fortement augmenté et c'est à la Fédération Départementale de la Chasse de régler ces indemnités.

 

Ce billet n'affirme que des faits qui ont été notoirement diffusés sur des médias alternatif, et divers medias mainstream. Il cite les sources: articles de presse/vidéos.

    Conformément au sens de l'art du code pénal , il ne peut être considéré comme diffamatoire (art. 34 de la loi du 29 juillet 1881).

    En conséquence, sa censure serait assimilable à entrave à la liberté d'expression (L431-1 du code pénal)